Comment développer l'autonomie de vos collaborateurs
- stephanievilletard

- 6 nov.
- 1 min de lecture
On confond souvent autonomie et absence de cadre.
Or, selon le niveau d’autonomie de chacun, le rôle du manager change complètement 👇
👉 Un nouveau collaborateur a besoin de repères, de consignes claires, de feedbacks et de points de suivi fréquents.
👉 Un collaborateur en apprentissage a besoin de soutien, d’encouragements et d’un vrai accompagnement terrain.
👉 Un collaborateur compétent a besoin de confiance et de marges de manœuvre pour oser.
👉 Un collaborateur autonome a besoin de délégation réelle et de reconnaissance.
𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐟𝐫𝐞́𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐦𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬 :
❌ appliquer la même méthode à tout le monde
❌ faire du micro-management avec ceux qui savent déjà faire
❌ ne pas cadrer assez les nouveaux arrivants (consignes et livrables flous, manque de suivi)
❌ ne pas identifier précisément les besoins en formation
❌ ne pas organiser ni planifier la montée en compétences (se limiter à du “tu me regardes faire”)
❌ penser qu’expliquer une fois suffit
Former, suivre, ajuster… cela prend du temps.
Mais c’est un investissement : 𝐚𝐜𝐜𝐞𝐩𝐭𝐞𝐫 𝐝𝐞 “𝐩𝐞𝐫𝐝𝐫𝐞” 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐚𝐮 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝐠𝐚𝐠𝐧𝐞𝐫 𝐞𝐧𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐠𝐫𝐚̂𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐭𝐞́𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐫𝐚𝐩𝐢𝐝𝐞, 𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐪𝐮𝐢… 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞𝐧𝐭.
✅ Le management situationnel permet justement d’ajuster sa posture et ses actions selon le niveau d’autonomie de chacun — pour faire grandir sans étouffer.
Et vous, avez-vous tendance à trop cadrer ou à trop lâcher ?







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