Et si on soignait autant les départs que les arrivées ?
- stephanievilletard
- 12 mai
- 1 min de lecture
💼 𝐔𝐧 𝐝é𝐩𝐚𝐫𝐭, ç𝐚 𝐬𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞.
Et pourtant… combien d’entreprises et de salariés gèrent ça de manière catastrophique ? Quelques exemples de mon vécu de DRH :
❌ 𝐂ô𝐭é 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 :
👉 Essayer de rogner sur le bonus d’un salarié après 20 ans d’ancienneté, alors que les résultats sont là.
👉 Insister pour que le préavis soit effectué… puis faire comme si la personne n’existait plus.
❌ 𝐂ô𝐭é 𝐬𝐚𝐥𝐚𝐫𝐢é :
👉 Poser un arrêt maladie pour éviter le préavis.
👉 Disparaître du jour au lendemain… et réapparaître dans une émission de télé-réalité (véridique ! 😅).
Le problème ? Ce n’est malin pour personne.
⚠️ 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 :
− Les collègues observent et se demandent si ça leur arrivera aussi.
− Le salarié partant peut sérieusement ternir votre image en interne et en externe.
⚠️ 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐬𝐚𝐥𝐚𝐫𝐢é :
Je me suis rendue compte que le monde est parfois petit ...
− une réputation entachée peut vous revenir en boomerang au moment où vous vous y attendez le moins.
− A l'inverse, laisser de bons souvenirs ne pourra que vous aider, c'est la force du réseau !
💡 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧 : 𝐮𝐧 𝐝é𝐩𝐚𝐫𝐭, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞. C𝐚 𝐬𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐢𝐫𝐫é𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐚𝐛𝐥𝐞.
Même si l’autre ne l’a pas toujours été…

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